Je me fais baiser mon gros cul de beurette
Baise en boîte
Sarah
11/18/20243 min temps de lecture
Cette soirée c’est ma soirée. Nous sommes en discothèque avec mes amis. On danse. On boit. J’ai envie de rencontrer un homme. De me faire baiser. Je sors d’une longue relation amoureuse. Mon ex et moi ne nous aimions plus. Par conséquent, ce soir, j’ai tout simplement envie de faire ma salope, de donner ma chatte et mon cul à un mec bien membré. Oui j’aime les grosses bites. Je danse de façon très langoureuse afin d’attirer les regards des hommes. Cela fonctionne. Je sens les yeux rivés sur mon corps, sur mes formes. En effet, je suis une maghrébine très pulpeuse. Mes rondeurs plaisent. J’ai une grosse poitrine et des fesses très rondes. Je porte une robe courte rouge très moulante qui ne laisse aucune place à l’imagination.
Un homme s’approche de moi par derrière. Je peux sentir sa bite se frotter contre mon cul. Je me retourne brièvement car je veux quand même savoir à qui appartient cette bite. Et je ne suis pas déçue. Il est blond avec des yeux bleus perçants, une allure à la Brad Pitt jeune. Du coup, je tends encore plus mon cul. Je crois qu’il a compris le message. Il me tient par la taille et les frottements se font de plus en plus lascifs. Au bout de quelques minutes, il me prend par la main et m’amène dans un coin éloigné de la piste de danse. Mes copines me regardent avec un air envieux. Il m’embrasse goulûment. De la salive s’échappe de nos bouches. Nous avons envie l’un de l’autre. Ma cuisse frotte son sexe à travers son pantalon. Ses mains sur mes fesses, il me pousse contre lui. Mes seins sont écrasés contre son torse. Ses caresses m’exaltent. Je le prends donc à mon tour par la main et l’amène dans les toilettes. Je vous accorde que les toilettes d’une discothèque ne sont pas un lieu très glamour ou romantique mais lorsque l’on a très envie de se faire baiser le lieu importe peu je pense. Une fois dans les toilettes, je lui baisse son pantalon et son caleçon et le branle. Je le regarde droit dans les yeux pendant que je fais cela. Mon regard en dit long. Il a bien compris que ce soir j’étais une grosse salope à la recherche d’une bite pour se faire baiser. J’empoigne encore plus sa bite et commence à le sucer. Je sens qu’il apprécie cela. Du sperme coule un peu de son gland. Je le mange. J’aime cela. Je malaxe ses couilles pendant que je le suce. Elles sont grosses. Je veux son jus, son sperme. Après lui avoir bien bouffé la queue, je baisse mon string et m’appuie contre le mur. Il relève ma jupe, me caresse les fesses et me donne une grosse claque sur le cul. Surprise, je sursaute et gémis de plaisir. Il frotte sa bite contre mes fesses et me rentre, d’un coup sec, sa bite toute dure au fond de la chatte. Ohhhh quelle bonheur. Il me pilonne la chatte de plus en plus fort. Il est tellement bestial. Il m’attrape les cheveux par la racine. Cette petite douleur est si excitante. Les va et vient me procurent un tel plaisir. J’ai la chatte trempée. Je crie de plus en plus fort. C’est exactement ce dont j’avais envie. Je me fais la réflexion selon laquelle la lumière tamisée des toilettes rend ce moment presque romantique. Au bout d’une dizaine de minutes, ce petit manège me fait jouir et mes jambes perdent leur équilibre. La sensation est tellement forte que mes muscles inférieurs me lâchent. Il me tient toujours par la taille. Sans cela, je serai sûrement tombée. Je retire donc sa bite de ma chatte. Il n’a pas giclé. Je me remets donc à genoux devant sa bite et recommence une fellation intense. Je le regarde à nouveau dans les yeux tout en le suçant. Je sens presque son jus monter. Je sors donc sa queue de ma bouche et là, je vois le sperme arrivé sur mon visage. J’étais ravie. Deux minutes après je reprends mes esprits et je me relève. Mon beau blond me tend du papier toilette. Je me nettoie le visage et me rends compte que je suis en train d’ enlever tout mon maquillage. Zut. Je prends mon sac et me remaquille rapidement avant de me retourner vers mon mystérieux blond. Il me sourit avec beaucoup de gentillesse. Avec ce visage d’ange, qui aurait cru que c’était le même homme qui, dix minutes avant, me baisait bestialement. Il s’approche de moi et m’embrasse. C’est un réel baiser plein d’affection. Je ne m’attendais pas à cela. Il se retire. A mon tour, je l’embrasse comme pour lui dire : « moi aussi j’ai de l’affection pour toi ». Il me prend la main. On se dirige vers la sortie. Il ouvre la porte et là quatre ou cinq paires d’œil nous fixent. Mince !